trop d’amour en moi j’vais m’prendre que des gifles je pense que je pense trop quand mon coloc est mort en longeant la Cote d’or en lorgnant sa plaque d’or d’une balle dans la tête d’un tronc dans le corps j’ai repensé l’indifférence j’ai découvert l’intelligence de ceux qui pieux se taisaient pour toutes condoleances…
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Demande à Gaël ce qu’il pense de la ponctualité. “si toi ca t’a touché, fais tourner. Sinon, reviens après ta prochaine rupture amoureuse.” J’ai vu un frère mourir Et j’veux plus avoir à faire à ça J’peux plus m’en vouloir pour une simple histoire de braquage de boulard de costard et de cauchemar de dollar…
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Faut juste sortir de son coeur de l’étreinte de la peur se défier de ce leurre pour écouter tous ses pleurs j’suis ni dealer ni consommateur so I’ll never get high on my own supply faut se défaire de cette sensation pour embrasser la chaleur du son entre mon corps et mon coeur entre mes…
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hier soir je me suis enivré avec ma main gauche pour m’endormir est-il encore possible d’être soi? les hommes ont peur, sinon y-a rien je me demande si je pourrai écrire et rêver et si je parviendrai a édulcorer mes idees mettre du sang dans mon eau et de l’eau dans mon vin du courage…
Lire la suite de J’ai peur, je me lève comme ça
Il y-a du wifi à l’église. Désolé si je blasphème, à l’approche de tes pas je rengainerai ma rengaine. Et cette porte était ouverte, je n’y crois pas. Ça me rappelle une amoureuse. Elle et moi. Des pas et des pas, des envies qui se multiplient, des sexes qui s’étreignent. Tout ce chemin pour…
Lire la suite de Puisqu’il faut prier,
Poésie Chanel comme Frank Ocean et Charnelle comme le prénom toujours perdu dans ce que tu dis ce que tu fais et ce en quoi tu crois quand je me replonge à l’intérieur de toi, je vois des désirs de dire le monde de raconter ces préfaces de transpercer les temps de venir sur le mont…
Lire la suite de Il m’a dit, « c’est comme mon petit frère »
Aujourd’hui les images de ta mort revenaient sans cesse dans ma tête en cours de français. Ce soir ta musique silencieuse, comme ton absence, résonne entre ces murs. Tous les jours elle me manque. Et cette femme qui n’est pas elle, toute apprêtée et haut juchée, s’apprête a s’installer. Elle vient avec son matériel. Elle…
Lire la suite de Ils parlent de toi comme si tu n’existais plus.
Ça tombe bien, ce n’est pas le but de mon récit. Ce n’est pas ainsi que j’ai souhaité commencer mes écrits. Cet espace, pour citer Sekloka, c’est l’espoir de devenir adulte en clamant ses écrits d’adolescent. Cet espace, c’est le fruit d’une route sinueuse, c’est le début d’une décision sordide: c’est le désir de rendre…
Lire la suite de Pourquoi j’ai mangé mon père?